Bikasmën

Âge : 66 ans.
Peuple :
Classe :
Provenance :
Inconnu(e)
Fraternel :
Famille :

Kroutïnpo

Alliés et ennemis :
  • Alliés : Ceux qui souffrent, les malades et les nécessiteux.

  • Ennemis : Les arrogants, ceux qui méprisent la misère et la maladie.

Objets :
  • Amulette de guérisseur : modeste pendentif censé éloigner les maladies, offert par le guérisseur qui l’a sauvée.

  • Petit flacon d’herbes séchées : qu’elle garde toujours sur elle, mélange de plantes médicinales qu’elle prépare elle-même.

Caractéristiques physiques :
  • Physique : peu avenant

  • Visage : recouvert de verrues

  • Teint : blafard

  • Taille : moyenne

  • Corpulence : moyenne

  • Cheveux : noirs, rêches comme de la paille

  • Yeux : gris, souvent cernés

  • Allure : voûtée mais vive, mains toujours occupées à quelque tâche

Signes distinctifs :

Peau marquée par les séquelles de la maladie de son enfance.
Son rire, étonnamment franc, tranche avec son apparence austère.

Capacités et compétences : (icônes à prévoir : soins, herboristerie, résilience, entraide)
Talents particuliers : (icônes à prévoir : empathie, guérison intuitive)
Personnalité :
  • Râleuse

  • Avenante

  • Serviable

  • Attentionnée

  • Courageuse

  • Persévérante

Croyances et philosophies :
  • La souffrance ne doit jamais être vaine.
  • Aider autrui est le seul remède à ses propres blessures.
  • La beauté n’a de valeur que dans les gestes, pas dans le visage.
Centres d’intérêt :
  • La préparation de remèdes et potions naturelles.

  • Les histoires d’enfants et de voyageurs qu’elle soigne.

  • Le soin des animaux blessés qu’elle recueille parfois.

Quête personnelle :

Transmettre ses connaissances pour que plus jamais un enfant ne voie mourir ses parents sans comprendre pourquoi.

Citation :

Les plaies se referment. Les cœurs aussi, si quelqu’un prend le temps de les recoudre.

Son histoire

Lorsqu’elle avait sept ans, Bikasmën a assisté à ce qu’il y a de pire pour un enfant : le décès de ses parents.
Son père, gravement malade, s’était couvert de pustules avant de dépérir sous les yeux impuissants de son épouse.
Sa mère, atteinte à son tour, mit ses dernières forces à sauver ses jumeaux, Bikasmën et Kroutïnpo, en trouvant un guérisseur.
L’homme lui annonça qu’il était trop tard pour elle, mais qu’il pouvait épargner ses enfants, non sans séquelles.
Marquée dans sa chair et dans son âme, Bikasmën jura ce jour-là de consacrer sa vie à soulager la douleur des autres.