Lécaïla
- Alliés : Les mages valeureux et toutes les belles âmes.
- Ennemis : Ceux qui détournent la magie à des fins égoïstes.
- Pierre d’écoute : un petit cristal pâle qu’elle garde dans une bourse. Il vibre légèrement lorsque son frère pense à elle.
- Tome des Reflets : carnet relié de cuir blanc dans lequel elle note les variations de la lumière magique selon les émotions.
- Aucun autre objet notable : elle préfère garder son esprit libre de tout attachement matériel.
- Cheveux : noirs.
- Yeux : noirs et bridés.
- Teint : jaune clair.
- Taille : grande.
- Corpulence : moyenne.
- Allure : élégante, mesurée.
(Jumelle de Zvirkius)
• Sa voix est étonnamment douce, mais ses paroles portent souvent un poids inattendu.
- Droite
- Posée
- Réfléchie
- Perspicace
- Pondérée
- Déterminée
- Rien n’est plus dangereux qu’une lumière qui ignore son ombre.
- Voir clair ne suffit pas : il faut savoir où poser son regard.
- Apprendre, c’est se souvenir de ce qu’on a toujours su.
- Étude des flux lumineux et des illusions naturelles.
- Lecture de traités anciens sur la magie non-destructive.
- Contemplation des astres, elle affirme que chaque étoile est une pensée en fuite.
Réunir la sagesse dispersée des anciens mages de Soleïra et comprendre le véritable rôle de la lumière dans l’équilibre du monde. Retrouver un jour Zvirkius pour unir leurs savoirs et peut-être, ensemble, créer une magie nouvelle, fondée sur la compréhension mutuelle.
La lumière la plus pure ne naît pas du jour, mais de ceux qui ont traversé la nuit.
Son histoire
Quel bonheur ce ne fut pas pour leurs parents lorsque Lécaïla et Zvirkius virent le jour : deux enfants éveillés, inséparables et brillants d’une même flamme. Dès l’enfance, ils rivalisaient d’ingéniosité, construisant des instruments pour observer les éclats du ciel ou deviner la trajectoire des vents.
Lorsque l’heure vint de choisir une école, ils prirent une décision qui laissa leurs parents stupéfaits : ils se sépareraient volontairement. Zvirkius partirait à Flovana, Lécaïla à Ploumeïra. Leur but n’était pas de s’éloigner, mais d’apprendre deux chemins d’une même science, afin d’élargir leur savoir commun.
À Soleïra, Lécaïla s’imprégna des enseignements de la lumière : comment elle éclaire, mais aussi comment elle aveugle. C’est là qu’elle découvrit l’équilibre fragile entre vérité et illusion. Depuis, elle cherche à maîtriser cette frontière, persuadée que la sagesse ne consiste pas à tout voir, mais à voir juste.